Description : Vous connaissez surement le principe de l'histoire
sans fin, où chacun poste un bout de phrase et à la fin ca fait une
histoire abracadabrante ? Et bien moi je vous propose de construire
ensemble une histoire (courte ou longue si on est inspirés) qui ait du
sens (enfin un minimum quoi). Chacun écrira une où plusieurs phrases,
voir un petit paragraphe, jusqu'à ce que ca fasse une nouvelle. A vos claviers !


Bon je commence :

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ? Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..

Ca va faire un drôle de truc ^^ mais c'est marrant

Plus loins, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec un visage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparu les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie à du bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, où qu'il est disparu.

L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..

La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"

L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent...

[Ça vous dit de copier coller toute l'histoire à chaque fois ? Comme ça on n'est pas trop perdu ; ) ]

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ? Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..
Plus loin, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec un visage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparues les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie a du bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, ou qu'il est disparu.
L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..
La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"
L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent... Et si il allait acheter des tomates ? La personne qui le suivait ne décèlerait rien d'anormal à ça, cependant...

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ? Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..
Plus loin, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec un visage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparues les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie a du bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, ou qu'il est disparu.
[Je trouve ça mieux de faire pas trop à chaque fois, bonne initiative =) ]

L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..
La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"
L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent... Et si il allait acheter des tomates ? La personne qui le suivait ne décèlerait rien d'anormal à ça. Cependant, il y avait un problème: le mardi, il n'y a jamais de marché ici. Il n'avait qu'à aller au marché noir ! Il marcha quelque temps, puis au final, tomba devant une vitrine noire, sur le bord d'une avenue. Un gros panneau en lettres noires surplombait la vitrine: "MARCHE NOIR". Il poussa la porte avec un soupir de soulagement...

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ? Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..
Plus loin, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec un visage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparues les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie a du bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, ou qu'il est disparu.

L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..
La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"
L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent... Et si il allait acheter des tomates ? La personne qui le suivait ne décèlerait rien d'anormal à ça. Cependant, il y avait un problème: le mardi, il n'y a jamais de marché ici. Il n'avait qu'à aller au marché noir ! Il marcha quelque temps, puis au final, tomba devant une vitrine noire, sur le bord d'une avenue. Un gros panneau en lettres noires surplombait la vitrine: "MARCHE NOIR". Il poussa la porte avec un soupir de soulagement, avant de s’apercevoir que ce n'était pas DU TOUT le bon marché noir. Il était dans le marché noir des escargots, pas celui des tomates. Il s'avança néanmoins entre les rayonnages d'escargots noirs et ne tarda pas à y croiser...

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ? Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..
Plus loin, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec un visage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparues les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie a du bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, ou qu'il est disparu.

L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..
La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"
L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent... Et si il allait acheter des tomates ? La personne qui le suivait ne décèlerait rien d'anormal à ça. Cependant, il y avait un problème: le mardi, il n'y a jamais de marché ici. Il n'avait qu'à aller au marché noir ! Il marcha quelque temps, puis au final, tomba devant une vitrine noire, sur le bord d'une avenue. Un gros panneau en lettres noires surplombait la vitrine: "MARCHE NOIR". Il poussa la porte avec un soupir de soulagement, avant de s’apercevoir que ce n'était pas DU TOUT le bon marché noir. Il était dans le marché noir des escargots, pas celui des tomates. Il s'avança néanmoins entre les rayonnages d'escargots noirs, et ne tarda pas à y croiser Mme Artichauchaud, son ancienne professeure de français de 6ème, avec toujours autant de pustules sur le visage et de poils dans les narines. Horrifié, l'homme s'enfuit en courant, les bras s'agitant au dessus de sa tête.

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ? Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..
Plus loin, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec un visage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparues les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie a du bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, ou qu'il est disparu.

L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..
La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"
L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent... Et si il allait acheter des tomates ? La personne qui le suivait ne décèlerait rien d'anormal à ça. Cependant, il y avait un problème: le mardi, il n'y a jamais de marché ici. Il n'avait qu'à aller au marché noir ! Il marcha quelque temps, puis au final, tomba devant une vitrine noire, sur le bord d'une avenue. Un gros panneau en lettres noires surplombait la vitrine: "MARCHE NOIR". Il poussa la porte avec un soupir de soulagement, avant de s’apercevoir que ce n'était pas DU TOUT le bon marché noir. Il était dans le marché noir des escargots, pas celui des tomates. Il s'avança néanmoins entre les rayonnages d'escargots noirs, et ne tarda pas à y croiser Mme Artichauchaud, son ancienne professeure de français de 6ème, avec toujours autant de pustules sur le visage et de poils dans les narines. Horrifié, l'homme s'enfuit en courant, les bras s'agitant au dessus de sa tête.
Il ressemblait désormais à un poulpe, avec ses bras désarticulés qui flottaient autour de sa tête au grès du vent. Il perdit une chaussure en chemin, heureusement pour lui, Superman passait par là et

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ?Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..
Plus loin, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec unvisage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparues les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie adu bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, ou qu'il est disparu.

L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..
La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"
L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui
délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent... Et si il allait acheter des tomates ? La personne qui le suivait ne décèlerait rien d'anormal à ça. Cependant, il y avait un problème: le mardi, il n'y a jamais de marché ici. Il n'avait qu'à aller au marché noir ! Il marcha quelque temps, puis au final, tomba devant une vitrine noire, sur le bord d'une avenue.Un gros panneau en lettres noires surplombait la vitrine: "MARCHE NOIR". Il poussa la porte avec un soupir de soulagement, avant de s’apercevoir que ce n'était pas DU TOUT le bon marché noir. Il était dans le marché noir des escargots, pas celui des tomates. Il s'avança néanmoins entre les rayonnages d'escargots noirs, et ne tarda pas à y croiser Mme Artichauchaud, son ancienne professeure de français de 6ème, avec toujours autant de pustules sur le visage et de poils dans les narines. Horrifié, l'homme s'enfuit en courant, les bras s'agitant au dessus de sa tête.
Il ressemblait désormais à un poulpe, avec ses bras désarticulés qui flottaient autour de sa tête au gré du vent. Il perdit une chaussure en chemin, heureusement pour lui, Superman passait par la et il ramassa la chaussure perdue, qu'il lui balança en pleine figure. Cela lui remit les idées en place, et l'homme baissa les bras. Un peu sonné, il marcha en zig-zag vers un banc public, faisant s'envoler un groupe de pigeons. C'est alors que le chat de tout à l'heure surgit et ...

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ? Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..
Plus loin, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec un visage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparues les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie a du bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, ou qu'il est disparu.

L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..
La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"
L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent... Et si il allait acheter des tomates ? La personne qui le suivait ne décèlerait rien d'anormal à ça. Cependant, il y avait un problème: le mardi, il n'y a jamais de marché ici. Il n'avait qu'à aller au marché noir ! Il marcha quelque temps, puis au final, tomba devant une vitrine noire, sur le bord d'une avenue. Un gros panneau en lettres noires surplombait la vitrine: "MARCHE NOIR". Il poussa la porte avec un soupir de soulagement, avant de s’apercevoir que ce n'était pas DU TOUT le bon marché noir. Il était dans le marché noir des escargots, pas celui des tomates. Il s'avança néanmoins entre les rayonnages d'escargots noirs, et ne tarda pas à y croiser Mme Artichauchaud, son ancienne professeure de français de 6ème, avec toujours autant de pustules sur le visage et de poils dans les narines. Horrifié, l'homme s'enfuit en courant, les bras s'agitant au dessus de sa tête.
Il ressemblait désormais à un poulpe, avec ses bras désarticulés qui flottaient autour de sa tête au grès du vent. Il perdit une chaussure en chemin, heureusement pour lui, Superman passait par là et il ramassa la chaussure perdue, qu'il lui balança en pleine figure. Cela lui remit les idées en place, et l'homme baissa les bras. Un peu sonné, il marcha en zig-zag vers un banc public, faisant s'envoler un groupe de pigeons. C'est alors que le chat de tout à l'heure surgit et lui annonça que les huissiers avaient expulsé la mamie vivant deux rues plus loin. Le chat le regardait fixement, attendant qu'il agisse, ce qu'il finit par faire. L'homme saisit son chapeau melon et le transforma en citrouille. Alors,

L'homme était assis à l'angle de la terrasse d'un café bordelais, sirotant un verre de Cabernet-Sauvignon à un prix exorbitant. Cet homme étrange et ma foi riche, vêtu d'un costume gris et d'un chapeau melon qui dissimulait son visage, était assis là depuis plus d'une demi-heure, seul. Il attendait. Et il commençait à perdre patience. Où était-elle ? Il n'est pourtant pas dans ses habitudes d'être en retard ..
Plus loin, assise à une chaise du même café, une femme l'observe. Il ne l'a pas remarqué, et pour cause : elle a changé de visage ! Elle qui auparavant était brune, elle est maintenant d'un blond vénitien, avec un visage très pâle tout à fait assorti à sa nouvelle couleur. Disparues les horribles cicatrices qui la défiguraient auparavant ! La chirurgie a du bon. Vraiment. Pourquoi ne s'est t-elle pas dévoilée ? Tout simplement parce qu'elle se sait observée. Elle n'ira pas le voir tant qu'elle n'aura pas identifié le danger, ou qu'il est disparu.

L'homme au chapeau, agacé d'attendre, finit son verre et se leva. Comment avait-elle pu oublier leur rendez-vous ? Il paya l'addition et quitta la terrasse du café. Il traversa la petite place et s'engouffrait dans une ruelle lorsqu'on le retint par le bras..
La femme voit l'homme se lever. A mais ça ne vas pas du tout ! Mais elle se rend compte quand la sensation de danger disparait : c'est l'homme qui est suivi. Elle se lève comme si ne rien n'était et va le voir, et le retint par le bras :

- Monsieur vous avez oublié quelque chose sur la table.

Dans le même temps, elle lui glissa dans la main un papier avec écrit : "Tu es suivit"
L'homme, dépliant le papier, fut surpris par le message que celui-ci lui délivrait. Pourquoi serait-il suivi ? Il leva la tête du papier pour interroger cette étrange femme... Plus rien ! Volatilisée ! Il retourna légèrement sur ses pas et entendit un bruit. Il se risqua prudemment vers la source de ce bruit, et il vit... un chat, assis tranquillement là.

- Grrrmblbl, grogna-t-il, je déteste perdre mon temps !

Il sorti de la ruelle puis alla en direction du parc le plus proche. Tout en marchant, il pensait, mais de plus en plus, une pensée s'obstinait dans sa tête et revenait très souvent... Et si il allait acheter des tomates ? La personne qui le suivait ne décèlerait rien d'anormal à ça. Cependant, il y avait un problème: le mardi, il n'y a jamais de marché ici. Il n'avait qu'à aller au marché noir ! Il marcha quelque temps, puis au final, tomba devant une vitrine noire, sur le bord d'une avenue. Un gros panneau en lettres noires surplombait la vitrine: "MARCHE NOIR". Il poussa la porte avec un soupir de soulagement, avant de s’apercevoir que ce n'était pas DU TOUT le bon marché noir. Il était dans le marché noir des escargots, pas celui des tomates. Il s'avança néanmoins entre les rayonnages d'escargots noirs, et ne tarda pas à y croiser Mme Artichauchaud, son ancienne professeure de français de 6ème, avec toujours autant de pustules sur le visage et de poils dans les narines. Horrifié, l'homme s'enfuit en courant, les bras s'agitant au dessus de sa tête.
Il ressemblait désormais à un poulpe, avec ses bras désarticulés qui flottaient autour de sa tête au grès du vent. Il perdit une chaussure en chemin, heureusement pour lui, Superman passait par là et il ramassa la chaussure perdue, qu'il lui balança en pleine figure. Cela lui remit les idées en place, et l'homme baissa les bras. Un peu sonné, il marcha en zig-zag vers un banc public, faisant s'envoler un groupe de pigeons. C'est alors que le chat de tout à l'heure surgit et lui annonça que les huissiers avaient expulsé la mamie vivant deux rues plus loin. Le chat le regardait fixement, attendant qu'il agisse, ce qu'il finit par faire. L'homme saisit son chapeau melon et le transforma en citrouille. Alors, il se leva nerveusement, et marcha jusqu'à la sortie du parc pour allez voir cette pauvre vieille. Mais, il s'aperçut rapidement que tout le monde autour de lui était figé et que personne ne réagissait à rien du tout. Il pressa le pas et sortit enfin du parc. Stupeur ! L'avenue était entièrement immobile et silencieuse, tout le monde était figé, même les voitures et les oiseaux. Sauf